Les péripéties de l’histoire ont tendance à endommager les fresques dans les édifices chrétiens.
De nombreux exemples en témoignent.
Parfois c’est le contraire. A Berzé-la-ville par exemple, à côté de Paray-le-Monial où nous donnons actuellement la session d’icônes, les fresques romanes ont été recouvertes de chaux au moment de la révolution française au lieu d’être effacées ce qui a permis de les conserver (contrairement à celles de Cluny).
Notre courte vie d’atelier (bientôt 60 ans !) a déjà aussi son histoire.
Les fresques de l’ancien réfectoire du haut ont pu être remises au grand jour après avoir été recouvertes d’un panneau de bois
Les fresques de l’église St Elme à Arcachon sont actuellement voilées derrière une grande paroi qui fait office d’isolant. L’église, peu utilisée par les fidèles, a été transformée en salle de spectacle et d’études pour les étudiants.
Récemment c’est tout un ensemble de fresques de notre atelier qui a été recouvert de peintures par un nouvel iconographe. Ces fresques se trouvaient dans le monastère orthodoxe de Cantauque près de Carcassonne et commandée lors de la présence de l’ancien supérieur le père Jacob



L’Islam à détruit de nombreuses fresques chrétiennes, l’athéisme révolutionnaire français et russe a détruit de nombreuses fresques, aujourd’hui ce sont les chrétiens eux-mêmes qui détruisent de nombreuses fresques…