
Les peintres d’icônes sont comme des abeilles qui butinent le nectar du Ciel.
Ils essayent de faire rayonner au travers de leur pauvres outils (pauvres en comparaison de l’œuvre qu’ils s’efforcent de révéler) la Gloire du Royaume Céleste.
Nous sommes heureux d’avoir pu passer ces quatre jours ensemble, au cœur de la maison « mère » de l’atelier et beaucoup ont pu rendre un salut affectif à la « mère » Ludmilla.
Comme Marie entourée des apôtres venus l’entourer, Ludmilla s’est endormie. Elle s’est vraiment endormie au sens littérale du mot car elle est rentrée dans un sommeil profond avant de tranquillement quitter ce monde terrestre.
Ainsi, comme Marie, elle est portée au Cieux sans avoir encore quittée ce monde terrestre.