Quand on vous dit qu’il faut que l’icône respire !
Témoignage de Martine Desèvre, élève responsable de l’organisation des sessions à Castelneau-le-Lez :
J’avais utilisé pour finition de l’icône de la Vierge de Tendresse, écrite à l’ASJD, un vernis conseillé par une iconographe de la région de Montpellier, qui l’utilisait et en était satisfaite.
Cependant, au fil du temps, je me suis aperçue que ce vernis, synthétique, « mangeait » littéralement toutes les lumières, le blanc de zinc en particulier, et l’icône « s’éteignait » jour après jour.
Longtemps après, un coin du vernis a commencé à se soulever. Tirant délicatement dessus avec des pincettes, je suis parvenue à le décoller par lambeaux
L’icône était endommagée
mais elle respirait enfin ! Je l’ai ressenti très fortement physiquement.
Après restauration, elle a retrouvé vie et lumière !