



Illumination des montagnes vues du cimetière lors de l’enterrement de François
Entouré par tous ses proches, François est accompagné dans la demeure du Père.
L’icône nous rappelle qu’il n’y a pas de frontières entre la vie et la mort : la chair seule souffre de la séparation mais le corps (dans sa matière spirituelle) ne disparait pas dans le tombeau. Comment pouvons nous « exister » en réduisant notre existence à une réalité matérielle ? Ne sommes nous pas beaucoup plus ? Comment pouvons nous accepter la (...)
Merci Jean Baptiste pour ce message . Tu as raison.
Une icône nous oblige à regarder et regarder sans relâche, devant et derrière, partout. Elle est une machine à décoder, à déchiffrer la réalité et l’au delà. Bref à rester éveiller.
Dieu n’est ni vraiment une illusion, ni vraiment une réalité. Les iconographes expriment leur réponse aux désenchantés que nous sommes. Par de belles formes et couleurs, ils confient concrètement leur espérance à cette question sans réponse, qui ne cessera jamais de se poser à l’être humain.
Mon amitié et ma prière vont aujourd’hui particulier vers Marie Noëlle et ses enfants.
Marie