50 ans !

« Y-a-t-il le feu dans la demeure ? » Notre Chapelle Notre Dame de la Dormition ne brûle pas (c’est le feu de la cheminée !) mais vit des moments difficiles…

Notre Atelier, dont le directeur a désormais le même âge, vit des moments délicats de mutation. Nous savons que les structures, pour être toujours dynamiques et efficaces, doivent savoir se renouveler pour ne pas tomber dans l’inertie et la destruction.

Notre Atelier fait peau neuve dans la douleur car les structures sur lesquelles il a construit ses bases dans le Vercors sont sujet à de véritables difficultés.

Nous demandons à chacun de porter dans la prière l’Atelier Saint Jean Damascène témoin d’un demi siècle de transmission de l’iconographie, d’après les canons orthodoxes, dans l’obéissance à l’Eglise du Patriarcat Œcuménique de Constantinople.

Il faut que la famille Garrigou trouve un accord avec le Patriarcat de Constantinople quand à l’utilisation des lieux de culte et respecte l’usage exclusivement liturgique de ces lieux. Ce n’est pas facile car le droit français ne protège pas les lieux de culte. Dans les pays orthodoxes par exemple, quand un autel est consacré, l’ensemble du bâtiment appartient à l’Eglise… ce qui est logique car l’Eglise n’est pas une propriété privée !

Espérons que dans ce lieu, les intérêts humains laisseront la place à ceux de l’Église !

Pour la première fois depuis bien longtemps les paroissiens orthodoxes de La Chapelle Notre Dame de la Dormition ont partagé les agapes avec les membres de l’Atelier d’icônes…

Le fruit du travail iconographique reste le détachement des choses terrestres avec le respect de la Tradition.

Revenir en haut